"D'azur à trois bandes d'or, au chef de gueules chargé de trois quintefeuilles aussi d'or et soutenu d'une trangle d'argent."
Ville du saint patron de sa région, mais également de celui de l'ordre de chevalerie, malgré sa faible population, à peine quelques 5.566 Nuitons et Nuitonnes, que nous soyons ou non adepte du Nectar des Dieux ou de la Dive Bouteille, nous connaissons tous cette commune de la région Bourgogne-Franche-Comté depuis 2016, anciennement la Bourgogne, en Côte-d’Or : Nuits-Saints-Geroges.
Situation.
L’église Saint-Denis de Nuits-Saint-Georges, de style néo-roman, remplace un ancien édifice construit par les chanoines du Chapitre de Saint-Denis de Vergy ayant trouvés refuge à la suite de la destruction de la place forte. Un remarquable orgue d’Aristide Cavaillé-Coll, conçu en 1878 anime les offices.
Deux campanes logent dans le clocher. La « petite jeune », Marie-Hélène, est issue des fameux fours de Haute-Savoie, PACCARD. Sa coulée se réalisa en janvier 2011, pour une masse de 1.500 kg.
« L’ancienne », Élisabeth-Jeanne-Marie, ne vient « que » de Dijon (30 km). C’est l’une des œuvres du saintier Arthur FARNIER, ancien associé de son frère ainé, Ferdinand de Robécourt. Son poids est de 760 kg, elle chante en Fa # 3-3.
Marie-Hélène (2011) de PACCARD et Élisabeth-Jeanne-Marie (1899) d'Arthur FARNIER
Un grand merci à Antoine (cloches74.com) pour la transmission de ses photos et informations. Un incontournable, la visite de son site, entre autre la page sur Nuits-Saint-Georges : Les Cloches Savoyardes et ses superbes vidéos de sonneries.
En allant à Robécourt, à 153 km, passez par donc par Dijon et Langres.