"Parti : au 1er de gueules, au dextrochère de carnation, vêtu d'azur, mouvant d'une nuée d'argent, tenant une épée du même garnie d'or accostée de deux cailloux d'or ; au 2nd mi-parti de gueules, à l'aigle bicéphale d'or."
Qu’il s’agisse de Noveliacum en 875 ; ou de Nouille prope Metas vers 893 ; ou encore de Novilla prope Meti en 1145 ; voire Nouveville ou Nowilley en 1280 ou en 1315 ; Noelly au XVe siècle ; et Nowelley en 1404 ; Nowilly en 1495 ; ou Nouely (1552) ; Nouelly (XVIIe siècle) ; Noeilly (1610) ; Noieilly (1681) ; Nezilly (1756) ; Noisilly (1762), ou encore en lorrain roman : Naouilli et pourquoi pas Nouilly de 1871 à 1915 ; de 1915 à 1918 Niverlach ou Nieverlach de 1940/44, sous les administrations allemande, nous sommes, depuis 2016, dans la région Grand-Est, en Lorraine, en Moselle à Noully, village de 550 Novillois.
Situation.
Au XIV° siècle, l’église Sainte-Agnès de Nouilly ne comportait qu’une chapelle et son clocher fortifiés, aux canonnières sont encore visibles. Mais ce n’est qu’au XVIème et XVIIème siècle que sera bâtie, autour de ces derniers, la nef actuelle.
Pour remplacer les cloches saisies par les allemands en 1917, trois nouvelles campanes furent commandées, en 1923, au saintier George FARNIER, de Robécourt. Elles seront bénies le dimanche des rameaux 1924.
La plus petite donne le Ré, ne pèse que 165 kg, pour un diamètre de 659 mm. La deuxième a un poids de 247 kg pour un Ø de 740 mm, elle chante en Do, et la dernière de 831 mm de Ø a une masse de 341 kg et répond en Si bémol.
Une des cloches de Georges Farnier pour Nouilly, et détail sur un décor.
En allant à Robécourt, à 90 km, passez par Malzéville et Houdemont.