"Écartelé aux 1 et 4 d'argent à l'écusson de gueules, et aux 2 et 3 de gueules à deux saumons adossés d'argent."
C’est sans doute de par sa position que ce village, de l’ancien duché de Lorraine, tire son nom. Construit sur le versant d’une côte, les eaux descendant des torrents ont contraint les habitants à ériger des sortes de digues et placer des vannes à certaines distances. « Le village, construit le long de ces vannes, s’est appelé Cours-des-Vannes d’où est venu Vannecourt »
(1).
Nous sommes épisodiquement, à Warnhofen, de 1915 à 1918 et de 1940 à 1944, ou depuis 1793 à Vannecourt, la Moselle en Lorraine, région Grand-Est depuis 2016.
Situation.
Vers 1840, le curé de Vannecourt rapportait l’anecdote suivante : Selon la tradition, de la maison de Templiers détruite lors de l’extinction de cet ordre en France, seule la petite chapelle Notre-Dame de Pitié, servant de lieu de pèlerinage, existait encore vers 1750. « Ses débris ont servi à bâtir l’église Saint-Denis de Vannecourt, édifiée en 1753, où l’on a transporté aussi une statue de Notre Dame qui est encore en grande vénération dans la contrée »
(2).
En 1923, deux campanes sont commandées au saintier de Robécourt, Georges FARNIER, vraisemblablement pour remplacer celle réquisitionnées lors du 1er conflit mondial. Les deux nouvelles cloches, Marie-Élisabeth-? et Jeanne-Aline- ?, sont livrées à temps pour leur bénédiction du 10 mars 1923.
Nom des cloches | Poids | Diamètre | Note | • Marie-Élisabeth-? | 554 kg | 971 5 mm | Sol | • Jeanne-Aline- ? | 396 kg | 864 mm | La |
Le 10 mars 1923, bénédiction des cloches pour l'église de Vannecourt
En allant à Robécourt, à 125 km, passez par Nancy et Contrexéville.